REMI, fiction audio

(55 minutes)

Tout public à partir de 8 ans

D’après le roman Sans famille d’Hector Malot

Conception et mise en scène Jonathan Capdevielle

GÉNÉRIQUE ÉPISODE 2

CONCEPTION ET MISE EN SCÈNE
Jonathan Capdevielle

ADAPTATION
Alexandre Lenot

EN COLLABORATION AVEC
Laure Egoroff et Jonathan Capdevielle

MUSIQUE ORIGINALE
Arthur B. Gillette

RÉALISATION SONORE
Laure Egoroff

CHEF OPÉRATEUR DU SON & MONTAGE SON
Mathieu Farnarier

MIXAGE Djai

BRUITAGE Elodie Fiat

MASTERING Pierre Luzy – Music Unit

INTERPRÉTATION
Jonathan Capdevielle, Dimitri Doré, Jonathan Drillet, Arthur B. Gillette, Michèle Gurtner, Anne Steffens

ILLUSTRATEUR DU POSTER
Etienne Bideau Rey

DESSIN DE COUVERTURE
Jonathan Drillet

DIRECTION DE PRODUCTION
Fabrik Cassiopée – Manon Crochemore, Manon Joly et Isabelle Morel

EN COLLABORATION AVEC
Air Rytmo – Maé Zamora

STUDIO D’ENREGISTREMENT
Music Unit (Montreuil), Creative Sound (Paris) et La Puce à l’oreille (Montreuil)

PRODUCTION

Coproduction Air Rytmo & Association Poppydog

Avec le soutien de la SPPF, du FCM et de la SACEM

 

Galerie : © Etienne Bideau Rey, Jonathan Drillet
Visuel de fond : © Arthur B. Gillette, Graphisme : Grégoire Gitton

Un projet en deux épisodes

L’idée est de faire découvrir au public les aventures de Rémi en deux épisodes, à travers deux supports d’adaptation différents. Un premier épisode joué au plateau laisse place à un deuxième épisode, qui prend la forme d’une fiction audio. Cette fiction audio est distribuée à chaque spectateur grâce à une pochette CD, accompagnée d’un poster illustré (et d’une carte de téléchargement pour ceux qui n’ont plus de lecteur CD).

Ce qui nous semble intéressant dans cette articulation, c’est que le spectacle accompagne les enfants jusque chez eux, qu’il se poursuive dans l’intimité du foyer ou dans un autre espace à imaginer. La fiction audio nous paraît l’outil idéal pour stimuler l’imaginaire. Le but est de repousser certaines limites imposées par la scène et d’explorer d’autres espaces grâce au son, de faire apparaître la multitude des personnages et de créer un voyage sensoriel.

Pour accompagner ce passage entre la scène et la fiction audio, il nous a semblé nécessaire d’habituer progressivement l’oreille du spectateur pendant le premier épisode, en travaillant notamment sur l’effacement progressif des corps des personnages au plateau, un dépouillement qui permettra à la voix et à la musique de devenir l’unique support de représentation. En utilisant le système de multi-diffusions installé dans la salle, le son vient petit à petit placer le spectateur au cœur des sensations sonores, créant ainsi un glissement de l’image au son.

Jonathan Capdevielle