ARTISTIQUE
interprète
Après des études à l’E.R.A.C., Clémentine Baert a joué sous la direction, entre autres, de Pascal Rambert, Georges Lavaudant, Bernard Sobel, Christophe Fiat, Oriza Hirata, Thomas Quillardet & Jonathan Capdevielle. Ses collaborations régulières aux projets de Robert Wilson de 1998 à 2002, à New York, en ont fait une artiste cosmopolite et singulière. En 2017, elle est interprète dans la pièce A nous deux maintenant, mise en scène par Jonathan Capdevielle présentée notamment au théâtre de Nanterre Amandiers dans le cadre du Festival d’Automne. Elle joue dans le spectacle de Thomas Quillardet Où les cœurs s’éprennent, une adaptation de films d’Eric Rohmer qui sera repris en 2021.
Elle fera partie de la prochaine création de Silvia Costa Comédie – Wry smile Dry sob à l’automne 2020 dans le cadre du Festival d’Automne au Centre Pompidou.
Au cinéma, elle a travaillé en tant qu’actrice avec Jean-Charles Fitoussi, Emmanuel Mouret, Sigried Alnoy, Olivier Dahan, Philippe Lioret, Wim Wenders, Cédric Anger et Guillaume Canet.
Depuis 2001, elle crée des performances au théâtre autour de la question de l’identité. En 2015, elle crée Alors, est-ce que c’est là ? au Théâtre de Vanves, solo qu’elle présente au T2G Centre Dramatique National de Gennevilliers et au TDB Centre Dramatique National de Dijon lors de la saison 16/17, puis au Caire (Egypte) dans le cadre du Downtown festival.
En 2016, elle crée Un matin, spectacle jeune public au Théâtre de Vanves qui a été présenté au T2G Centre Dramatique National de Gennevilliers et qui est en tournée en France.
En 2018, à la demande de l’Odéon Théâtre de l’Europe, elle met en scène Je nous promets avec des jeunes dans le cadre du dispositif Adolescences et Territoire(s), donnant lieu à des représentations aux Ateliers Berthier Odéon Théâtre de l’Europe, à l’Espace 1789 de Saint-Ouen et au T2G C.D.N. de Gennevilliers. Elle réalise son premier court-métrage, Je nous promets, à la demande du BAL avec la troupe de jeunes acteurs rencontrés lors de la création du spectacle. Ce court-métrage a été sélectionné lors du festival Côté Court de Pantin 2019 et présenté au Cinéma des Cinéastes.
Elle travaille actuellement à l’écriture de son prochain spectacle, Nos Champs (création 2020-2021) et de son prochain film Transit.
Interprète
Après des études de lettres à l’Université de Genève, Adrien Barazzone a été formé à la Haute école des Arts de la scène de Suisse Romande – La Manufacture, à Lausanne. Il est comédien et metteur en scène.
Il a co-dirigé le Théâtre du Loup à Genève, au sein de son collectif de direction et de programmation, durant près de dix ans, jusqu’en juin 2021.
Comme acteur, il a notamment collaboré avec Tiago Rodrigues, Jonathan Capdevielle, Philippe Saire, Christian Geffroy Schlittler, Oscar Gómez Mata, Natacha Koutchoumov, Denis Maillefer, Barbara Schlittler, Muriel Imbach, Mathieu Bertholet, Léa Pohlhammer, Florence Minder, Julien Jaillot, et Anne Bisang.
Avec sa compagnie L’Homme de dos, il crée des spectacles depuis plus de dix ans. Il a récemment conçu et mis en scène D’après, inspiré d’un roman du norvégien Knut Hamsun, et avant cela Les Luttes intestines, créations de plateau qui ont été présentées en Suisse romande et au Schauspielhaus de Zürich, grâce à leur sélection aux Rencontres du Théâtre Suisse. Il prépare actuellement Toute intention de nuire qui sera présenté à la Maison Saint-Gervais, à Genève, puis en tournée, à l’automne 2024.
Avec le Collectif Comédie Drôle, il a co-réalisé Celle qu’on croyait connaître ; avec Léa Pohlhammer, il a participé à la création et la reprise de Violencia Rivas, au Théâtre Saint-Gervais.
Au cinéma, il a tourné dans les derniers films de Lionel Baier, Low Cost (Claude Jutra), Bon vent/Claude Goretta, Les Grandes Ondes (à l’ouest), La Vanité, et Prénom : Mathieu, Une main muette, ainsi que dans le dernier film de Valérie Donzelli, Notre Dame, comme dans le premier long-métrage de Laetitia Dosch, Le Procès du Chien.
Dernièrement, il a joué et dansé dans Angels in America de Tony Kushner et Orphelins de Dennis Kelly, mis en scène par le chorégraphe Philippe Saire.
Actuellement, il tourne aux quatre coins de l’Europe Dans la mesure de l’impossible, écrit et mis en scène par Tiago Rodrigues, créé en 2022 à la Comédie de Genève. Il a repris un rôle dans le spectacle jeune public À l’envers, à l’endroit, mis en scène par Muriel Imbach, qu’il tourne – comme dernièrement au Théâtre Public de Montreuil. Il joue actuellement avec Jonathan Capdevielle dans son Caligula de Camus, dont la première a été présentée au T2G à Paris, en septembre 2023, dans le cadre du Festival d’Automne.
chorégraphe, interprète
Danseur et chorégraphe italien, Marco Berrettini est né en 1963 à Aschaffenburg, en Allemagne. Son intérêt pour la danse commence en discothèque. En 1978, il gagne le championnat allemand de danse Disco. Fort de cette expérience, il fréquente des leçons de danse jazz, moderne et ballet classique. À 17 ans, il commence sa formation professionnelle de danseur ; tout d’abord à la London School of Contemporary Dance, pour ensuite se diplômer à la Folkwangschulen Essen, sous la direction de Hans Züllig et Pina Bausch. Là-bas, il développe son intérêt pour le Tanztheater et débute comme chorégraphe. À la suite de sa formation, il essaie de monter sa propre compagnie à Wiesbaden.
Pour accompagner ses tentatives de se faire un nom comme chorégraphe, il étudie pendant deux ans l’Ethnologie européenne, l’Anthropologie culturelle et les Sciences théâtrales à l’Université de Francfort. En 1988, il déménage en France, pour travailler avec le chorégraphe Georges Appaix et crée en parallèle ses propres pièces. En 1999 le Kampnagel de Hambourg produit son spectacle MULTI(S)ME.
Depuis, Marco Berrettini a produit une trentaine de spectacles avec sa compagnie. Avec Sturmwetter prépare l’an d’Emil, il gagne le prix ZKB au Theaterspektakel de Zürich. Depuis 2004 il crée entre autres No Paraderan, *Melk Prod. goes to New Orleans (2007), iFeel (2009), iFeel2 (2012), iFeel3 (2016), iFeel4 (2017) et My soul is my Visa (2018). En 2019, il reprend Sorry, do the tour. Again ! suite à la commande du CND – Pantin. En 2020, il reprend No Paraderan suite à une commande du Théâtre des Amandiers, CDN de Nanterre. L’activité de Marco Berrettini s’étend de la performance dans un musée à la collaboration avec des réalisateurs de films, de l’installation avec des plasticiens au dîner avec des gens célèbres qui ne le connaissent pas.
La Cie *Melk Prod. de Marco Berrettini est compagnie conventionnée en Suisse.
Artiste plasticien | Concepteur des masques
Étienne Bideau-Rey vit et travaille à Senlis, France. Son éducation artistique débute à l’Institut St Luc de Tournai en Belgique, après quoi il étudie la scénographie à l’académie Royale des Beaux-Arts de Liège puis entre à l’École Supérieur Nationale des Arts de la Marionnette de Charleville-Mézières, France.
Il crée en 1999 la compagnie DACM et en collaboration avec Gisèle Vienne, met en scène et chorégraphie Splendid’s (2000), Showroomdummies (2001), Stereotyping (2003) et Tranen Veinzen (2005). Showroomdummies ré-écriture d’une pièce en 2009, puis en 2013 Showroomdummies #3 pour les Ballets de Lorraine. Mates and Monsters en 2017 en collaboration avec Anne Mousselet et Graham Smith, au Theater Freiburg, Allemagne. En 2020 il re-crée à Kyoto avec Gisèle Vienne Showroomdummies#4, produit par le Theater de Kyoto.
Outre les Masterclass qu’il réalise avec Anne Mousselet depuis 2013, il poursuit un travail plastique notamment au travers de dessins et de sculptures.
assistant artistique
Louis suit une formation de théâtre à l’École Diggelman et de piano classique au Conservatoire de Lausanne où il obtient son Certificat. En 2014, il est invité en tant qu’auteur à représenter la Suisse lors de la première édition des Studios Européens d’Écriture à la Chartreuse de Villeneuve-lès-Avignon. Depuis, son recueil de nouvelles Les Immortelles a été publié aux Éditions de la Marquise. Il poursuit ensuite sa formation à la HEAD (Haute École d’Art et de Design de Genève), dans laquelle il obtient un Bachelor en performance et où il fait la rencontre d’artistes qui le marqueront comme La Ribot, Sophie Nys ou Wim Cuyvers. Il est artiste associé à L’Abri – Genève, pour la saison 2019-2020. Sa formation continue de se pluraliser avec un certificat de direction de chœur, des cours de théorbe et de chant.
Il créera en janvier 2022 le premier épisode d’une série théâtrale en 4 parties autour de L’Apocalypse. Il travaille régulièrement en tant que comédien, dramaturge ou collaborateur artistique avec des artistes comme Marion Duval, Aurélien Patouillard, Marco Berrettini, Jonathan Capdevielle, Joris Lacoste, Julia Perazzini, Adina Secretan, mais encore Claire Dessimoz, Sarah André, Yvonne Harder, Léa Katharina Meier, Clara Delorme ou Renée van Trier.
musicien
Après des études de musique classique aux conservatoires de Nancy et Strasbourg pendant lesquelles il étudie le piano, la contrebasse, l’improvisation et la composition, il étudie l’ethnomusicologie à la Sorbonne et poursuit son exploration du jazz et des musiques actuelles et contemporaines, tout en multipliant les collaborations et expériences artistiques, aussi bien sur les scènes “Classique” et “Chanson” qu’au théâtre ou avec la danse.
Mélomane avide et curieux, il devient l’un des programmateurs musicaux de la radio Fip entre 2008 et 2016. Sur cette même antenne, il crée, produit et anime l’émission “Fip Classic Bazar” de 2012 à 2016.
Passionné de pédagogie, il enseigne dans diverses institutions musicales avant d’être nommé en 2010 professeur de Formation Musicale au sein des Conservatoires de Paris. Aujourd’hui, ses activités se partagent entre l’enseignement, les projets en tant que musicien et compositeur, et la production de concerts.
Création sonore, régie son
Diplômée de l’ENSATT, Vanessa Court compose des environnements sonores pour le théâtre, la danse et l’art contemporain, sonorise des ensembles de musique classique, contemporaine et jazz. En danse, elle collabore avec Susan Buirge, Michèle Noiret, Sidi Larbi Cherkaoui, Anne-Teresa de Keersmaeker, Christian Rizzo, Alban Richard, Aina Alegre. En musique, avec Ictus, les Percussions de Strasbourg et l’Orchestre National de Jazz. Elle a contribué à la composition de l’installation Corps Sonores de Massimo Fusco ainsi qu’Outremonde de Théo Mercier (Collection Lambert-Avignon et Conciergerie de Paris) et a réalisé Suzanne, une installation sonore en multiidiffusion pour les Hivernales 2023 à Avignon. Au théâtre, elle travaille avec Jonathan Capdevielle, Tommy Milliot et Kuro Tanino.
InterprètE
Né en Lettonie, Dimitri Doré est adopté par une famille française en décembre 1998 à l’age de 18 mois. Il passe son enfance à Reims. En 2016, le baccalauréat en poche, il déménage à Paris pour suivre une formation pluridisciplinaire de comédien à l’école de Théâtre l’Éponyme.
Un an plus tard, il rencontre le metteur en scène Jonathan Capdevielle, avec qui il travaille depuis en tant qu’interprète : la première pièce, À nous deux maintenant (2017), une adaptation du polar Un Crime de Georges Bernanos, est la première d’une longue série. Suit Rémi en 2019, pièce jeune public adaptée du roman d’Hector Malot dans laquelle il incarne le rôle du jeune Rémi. Enfin Caligula en 2023 mise en scène de la pièce d’Albert Camus, dans laquelle il interprète le rôle de Scipion.
Depuis 2017, Dimitri Doté alterne les rôles et les expériences, naviguant dans les sphères du théâtre, du cinéma, du cabaret, de l’opéra.
En 2019, il est choisi par le réalisateur Vincent Le Port pour interpréter le rôle-titre dans Bruno Reidal, son premier long-métrage. Ce rôle lui vaudra une nomination aux césars 2023 dans la catégorie Révélation masculine de l’année.
En 2019 toujours, il joue au théâtre dans La terre entière sera ton ennemie, une co-mise en scène de Thomas Blanchard et Sébastien Betbeder, ainsi que dans Retours ou Le Père de l’enfant de la mère, pièce de Fredrik Brattberg, mise en scène par Frédéric Bélier-Garcia au théâtre du Rond-Point.
En septembre 2020, il tourne, aux côtés d’Isabelle Huppert et Lars Eidinger pour le second film de Laurent Larivière À propos de Joan.
En 2021, il incarne l’enfant de Marie dans le Wozzeck d’Alban Berg, opéra mis en scène par Michel Fau à Toulouse et Monaco. En 2022, il collabore avec Mathilde Chavanne et Yann Chemin pour le film Pleure pas Gabriel. En parallèle, il poursuit les tournées des spectacles de Jonathan Capdevielle, Rémi et Caligula.
Il sera à l’affiche de La Petite Vadrouille de Bruno Podalydès, sortie prévue à l’été 2024.
interprète
Marika Dreistadt est née à Tarbes et vit maintenant en Suisse.
Elle a suivi des études en Histoire de l’art et en archéologie, ainsi qu’une première formation d’acteur : bac option théâtre où elle rencontre Jonathan Capdevielle, et cours Florent, stage sous la direction d’Ariane Mnouchkine. Elle rejoint ensuite la première promotion de la Manufacture HETSR à Lausanne et obtient son diplôme en 2006. Puis elle intègre la compagnie du Théâtre des Osses sous la direction de Gisèle Sallin et joue pendant 5 ans dans des pièces du répertoire classique (L’Orestie, Les femmes savantes, Les Bas fonds…).
Parallèlement elle s’intéresse à l’écriture contemporaine et co fonde le Collectif Division. Au sein de ce collectif, elle participe à l’élaboration des projets des pièces écrites et mises en scène par Julien Mages pour lesquelles elle est également interprète (créations au Théâtre de Vidy, à l’Arsenic et au 2.21 à Lausanne).
Au cinéma, elle travaille avec de jeunes réalisateurs (Thibault de Chateauvieux, Marie Elsa Sgualdo, Shirin Mashayekh…) dans des films en compétition aux festivals de Locarno, Soleure, Cabourg.
Elle est actuellement en création avec la jeune auteur et metteur en scène Coline Ladetto. Elle prépare également une tournée en Suisse et en Belgique avec le spectacle L’embrasement, mis en scène par Anne Bisang.
Conseiller artistique, interprète
Jonathan Drillet est aussi bien acteur qu’auteur, metteur en scène, ou collaborateur artistique. Il a travaillé avec Raimund Hoghe, Hubert Colas, Gerard&Kelly, Christophe Honoré, Sanja Mitrovic, ou Julien Prévieux. Il travaille régulièrement avec Théo Mercier (Du futur faisons table rase, La fille du collectionneur, Affordable solution for better living, Big Sisters) et accompagne Jonathan Capdevielle sur de nombreux projets, en tant qu’interprète et collaborateur artistique (Adishatz/Adieu, La Coupe Bruce, Saga, A nous deux maintenant, Rémi)
En 2008, il fonde, avec Marlène Saldana, The United Patriotic Squadrons of Blessed Diana, bannière sous laquelle, (sachant, à l’instar de Friedrich Nietzsche, que l’art nous est donné pour nous empêcher de mourir de la vérité) ils écrivent à deux de nombreux spectacles dont: Le Prix Kadhafi / Dormir sommeil profond, l’aube d’une odyssée / Fuyons sous la spirale de l’escalier profond, Le Sacre du Printemps Arabe… Ces spectacles ont été notamment présentés au Festival Belluard (Suisse), au Studio Chez Bushwick et à la Park Avenue Armory (New York), à la Ménagerie de Verre à Paris, au Centre Pompidou, au TAP de Poitiers, à la Scène Nationale d’Orléans, au Théâtre de Gennevilliers, au festival Printemps de Septembre à Toulouse, au festival A Domicile à Guissény, au festival Actoral à Marseille, ou au Centre National de la Danse (Pantin). Sur la période 2020-2022 ils devraient présenter 4 nouvelles créations: 22 castors front contre front, un ballet pour 22 jeunes interprètes créé en collaboration avec les chorégraphes Gaëlle Bourges et Mickael Phellipeau; Showgirl, un projet de solo autour du film Show Girls, de Paul Verhoeven; Utsu Mono To Utaruru Mono (ceux qui frappent et ceux qui sont frappés), une pièce de groupe inspirée par la comédie musicale Cats et par le Kabuki; et Asmr pour le temps présent, une performance pour église gonflable.
Ensemble choral
Ecume est une association de l’Université Paul-Valéry né sous l’impulsion de Sylvie Golgevit en 1995. Cette association universitaire mélange art choral et mise en scène pour concevoir des concerts-spectacles tous les ans. Son énergie émane de ses membres engagés et passionnés, de toutes générations et d’univers très différents.
Jonathan Capdevielle collabore avec plusieurs chanteurs de cet ensemble choral depuis 2009, date de création du solo Adishatz/Adieu dans lequel ils interviennent sur le final.
éclairagiste, Scénographe
Après une formation et diverses collaborations en tant que régisseur général, Bruno Faucher oriente son travail vers la lumière et la scénographie.
Il intervient tout d’abord sur des éclairages architecturaux pour des expositions d’ art contemporain.
Il s’installe ensuite à Marseille où il rencontre le Groupe Dunes avec qui il collaborera durant une quinzaine d’années, intervenant sur diverses installations lumineuses et interactives en milieu urbain.
Parallèlement, il accompagne le chorégraphe Marco Berrettini avec lequel il collabore depuis une vingtaine d’année en tant que scénographe, éclairagiste et interprète.
Il travaille actuellement sur les lumières et la scénographie de Thierry Balasse, Marco Berrettini, Jonathan Capdevielle, Jérôme Marin et Bryan Campbell.
Egalement apiculteur, il a une petite exploitation agricole dans le sud de la France.
Compositeur, musicien, interprète
Sous diverses incarnations et pseudonymes, Arthur b. Gillette est musicien, producteur, auteur et compositeur pour le cinéma, le théâtre, le cirque, la danse et la radio. Il est aussi chanteur et traducteur.
Il est un compagnon de route de Jonathan Capdevielle avec qui il collabore -comme compositeur et interprète- pour les pièces et performances : A Nous Deux Maintenant, Rémi, Les Bonimenteurs et plus récemment Caligula.
Il a co-fondé, compose et joue avec les groupes de rock Moriarty, Astéréotypie et Mick Strauss. Il a beaucoup composé pour le cinéma documentaire et de fiction et ses B.O ont été plusieurs fois récompensées. Il écrit et produit également des documentaires de création radio et des fictions pour France Culture.
Eclairagiste
Créateur lumière, Yves Godin collabore au début des années 1990 aux projets de nombreux chorégraphes, musiciens et plasticiens.
Sa démarche porte sur l’idée d’une lumière non dépendante de la danse, de la musique ou du texte mais qui puisse entrer en résonance avec les autres composantes de l’acte scénique, en travaillant autour de deux axes principaux : la perception de l’espace et du temps, et le tissage de liens en réseaux, plus ou moins anachroniques avec les autres natures en présence (corps, sons, pensée, temps).
Aujourd’hui dans les champs de la danse, de la performance du théâtre et de la musique, il collabore principalement pour la lumière et /ou la scénographie avec Boris Charmatz , Vincent Dupont , Thierry Balasse, Pascal Rambert, Jonathan Capdevielle et Gisèle Vienne. Il collabore également avec Olivia Grandville sur toutes ces dernières créations qu’elles soient scéniques (Combat de carnaval et Carême, A l’Ouest..) ou performatives (le Dance Park)
Parallèlement, Yves Godin créé les installations et /ou des évènements sur et autour de la lumière.
Avec Point d’orgue, dispositif pour 1000 bougies, il invite des artistes d’autres champs à investir son installation, principe de rencontre qu’il développe autour d’autres dispositifs Opéra Ampérique et Jardin des Leds. Il travaille actuellement avec le musicien Alexandre Meyer développement d’une structure installation visuelle et sonore: Cabane.
Interprète
Michèle Gurtner est une comédienne et performeuse suisse formée à la Scuola Teatro Dimitri, haute école de théâtre physique.
À ses débuts elle intègre différents collectifs; entre autre celui du Théâtre du Grütli à Genève durant deux années, dont une année consacrée au Labo d’Enfer, recherche sur l’Enfer de Dante, sous la direction de différents intervenants dont Pascal Rambert, Marco
Berrettini et Maya Bösch. Elle fait également partie une année de l’ensemble du Théâtre du Poche à Genève.
Elle travaille en Suisse sous la direction d’Oscar Gomes Mata de la Compagnie l’Alakran, Maya Bösch, Marielle Pinsard, Christian Geffroy, Barbara Schlittler, ainsi qu’avec les
chorégraphes Foofwa d’immobilité et Marco Berrettini. Elle co-crée avec Sebastien Grosset Les rapports oraux des services et l’Enseignement supérieur.
En France elle rejoint le travail de Vincent Thomasset; Bodies in the cellar, Les lettres denon motivation, Tommy Millot; Winterreise, du collectif Grand Magasin; Inventer de nouvelles erreurs, des vidéastes Alain Della Negra et Kaori Kinoshita; Bonheur Académie et plus récemment celui des metteurs en scène Maxime Kürvers; théories et pratiques du jeu d’acteur·rice (1428-2021) et de Philippe Quesnes; Farm Fatale. Elle est interprète dans les dernières mises en scène de Jonathan Capdevielle; À nous deux maintenant, Cabaret Apocalypse, Rémi, et Caligula.
Parallèlement à son travail d’interprète, elle poursuit une recherche collective et performative au sein du collectif GREMAUD/ GURTNER/ BOVAY de la 2b company, depuis 2009 ils élaborent ensemble un catalogue de formes courtes et d’autres pièces plus longues.
Regard Extérieur
Après un baccalauréat option théâtre où elle rencontre Jonathan Capdevielle, elle poursuit des études théâtrales et une formation en gestion et communication des entreprises culturelles.
De 2004 à 2007, elle travaille à l’administration du Studio Théâtre de Charenton, à l’accueil des compagnies au Festival des Chantiers de Blaye, puis comme chargée de production avec plusieurs compagnies. De 2008 à 2016, elle co-dirige avec Judith Depaule la compagnie Mabel octobre. En 2017, elle rejoint le petit bureau comme directrice de production.
Parallèlement, elle intervient auprès de Jonathan Capdevielle en tant que regard extérieur pour deux projets : Saga en 2015 et A nous deux maintenant en 2017.
Compositrice, Musicienne, Interprète
Jenn Hutt est une violoniste, compositrice et musicienne électronique basée à Paris depuis 2005.
Elle travaille sur scène avec son violon, ses machines électroniques, sa voix et son corps, mais aussi hors champ comme compositrice pour le théâtre, le cinéma, la télévision, et pour des installations, des performance et de la danse. Sa musique s’inspire de diverses influences stylistiques, notamment de l’art pop, de l’électronique, de la musique concrète et de la musique de film.
Violoniste de formation, autodidacte sur les machines électroniques, elle enregistre et se produit sur scène depuis 25 ans aux côtés d’artistes tels que Jonathan Capdevielle (FR), Will Oldham (USA), Arthur Gillette (FR), Bianca Bondi (SA), (Rosemary Standley (FR), Marc-Antoine Perrio (FR), Franky Gogo (FR), Arthur Gillette (FR), Bianca Bondi (SA), (Rosemary Standley (FR), Majida Khattari (MA), Celebration (USA) ou Nidi d’Arac (IT).
Elle fait partie du duo pop électronique avec la compositrice et guitariste Italienne Clelia Patrono avec qui elle produit des series de performances entre Paris et Bruxelles avec leur container Coup/e.
Ses compositions et BOs sont diffusées régulièrement dans des festivals de films internationaux. Certaines ont été sélectionnées pour le New York City Electroacoustic Music Festival, le MAtera INtermedia festival (IT) et d’autres ont été primées aux Festival de Film Entrevues (FR).
Compositeur, musicien
Théo Harfoush, alias Ilel Elil, performeur et auteur-compositeur-interprète.
Initialement formé aux techniques du son et à la musique classique, il amorce dès 2014 un travail de recherche qui deviendra la colonne vertébrale de son travail, sur le sujet des états de conscience modifiés dans l’art. Il se forme alors à la musique traditionnelle de l’inde (Gurukul Paris), à l’hypnose ericksonienne (ARCHE), à la TCIC (Ecole du Jeu), effectue plusieurs stages au GRM Radio France…
En 2018 il est contacté par le studio de jeux vidéos MirariGames, qui développe une ligne éditoriale singulière autour du taoïsme, et l’emploie comme compositeur et designer sonore. Ce travail est l’occasion d’une recherche de fond autour des musiques traditionnelles de Chine et de Corée.
En 2019 il collabore avec Otomo de Manuel (fondateur du TOTEM de Maxéville) qui lui confie la composition musicale au sein du Pop Corn House. Ilel Elil crée ensuite ses propres numéros au Cabaret Le Secret de Jérôme Marin. En 2020 il réalise la composition et l’interprétation de musiques de scène pour J’ai un vieux dans mon sac (Marie-Do Fréval) et Music All (Jonathan Capdevielle, Jerôme Marin et Marco Berrettini).
En parallèle Ilel Elil réalise plusieurs clips et singles en solo, avec notamment Puisque le niveau monte, Renaissance, Le Chemin, et commence l’écriture de son premier EP.
En 2021 le Festival Paradoxal, corps en performance lui donne carte blanche pour une performance solo : Marianne, etc. aux côtés d’artistes tels que Olivier de Sagazan, Karelle Prugnaud, Ioulia Plotnikova, Valentin Tszin…
interprète
Andrew Isar est comédien, auteur, né à Paris, ville dans laquelle il a grandi et vit encore. Il intègre le Cours Florent en 2004 avant de rejoindre le conservatoire du 6ème arrondissement de Paris dirigé alors par Bernadette Le Saché. D’origine anglophone et bilingue, il décide ensuite d’aller étudier l’art dramatique à New-York au sein de l’école Black Nexxus créée par Susan Batson. C’est à son retour des Etats-Unis qu’il commence à travailler sur les planches. Tout d’abord au Théâtre du Rond-Point avec le metteur en scène Pippo Delbono dans ENRICO V. Viendra ensuite sa première expérience face à la caméra auprès du réalisateur tchadien et primé (à Venise puis à Cannes) Mahamat-Saleh Haroun dans Sexe, Gombo et beurre salé. Parallèlement il intègre le casting de diverses séries TV Dur dur d’être le fils de…. De 2007 à 2010, il foulera les planches du Théâtre Mogador dans la comédie musicale de Broadway LE ROI LION en tant que chanteur et comédien et danseur. Son parcours éclectique l’entraînera ensuite au Théâtre de la Tempête où il collaborera à de nombreuses reprises avec le metteur en scène et directeur de théâtre Philippe Adrien Le projet Conrad, L’affaire, Une vie de château. Au cinéma il travaillera avec Cedric Kahn Une vie meilleure, ou encore avec le réalisateur Viken Armenian Mappemonde, Catherine Corsini La fracture ou encore Un an , une nuit d’Isaki Lacuesta . A la télévision il tournera plusieurs fois avec l’équipe du PalmaShow. Récemment , il a travaillé avec Joël Pommerat l’adaptation en images de son grand spectacle CA IRA! Fin de Louis ! et prépare son premier seul en scène: l’adaptation d’un roman de Nicolas Fargues intitulé Beau Rôle. Par ailleurs, il vient de finir l’écriture de son premier court-métrage dont le tournage a eu lieu en 2020.
Enfin, il a rejoint en 2021, la distribution du spectacle Rémi de Jonathan Capadevielle dans lequel il incarne le rôle de Vitalis en alternance avec Babacar M’Baye Fall sur la tournée française de ce spectacle .
costumière
Après s’être formée au stylisme à l’école Duperré à l’histoire du costume et aux différentes techniques de couture artisanales, Colombe Lauriot Prévost crée des costumes dans des domaines variés tels que le cirque, le cabaret, la comédie musicale, le cinéma, l’opéra et le théâtre, en France et à l’étranger. Elle a collaboré avec de nombreux metteurs en scène et réalisateurs tels que Jonathan Capdevielle, Frédéric Bellier-Garcia, Stéphane Ricordel, Pierre Notte, Jean-Michel Ribes, Alexandre Sokurov, Anne-Laure Liégeois, Laurent Fréchuret, Côme de Bellescize, Jérémie Lippmann, Joséphine de Meaux entre autres.
Passionnée de théâtre, de danse et d’opéra, elle a à cœur d’apporter par son travail une sensibilité sémantique et esthétique et d’aider l’interprète à incarner son rôle.
Scénographe
Nadia Lauro, scénographe, développe son travail dans divers contextes (espaces scéniques, architecture du paysage, musées). Elle conçoit des dispositifs scénographiques, des environnements, des installations visuelles. Ses espaces au fort pouvoir dramaturgique génèrent des manières de voir et d’être ensemble inédites.
Elle collabore avec les chorégraphes et metteur.euses en scène Vera Mantero, Benoît Lachambre, Alain buffard, Barbara Kraus, Emmanuelle Huynh, Antonija Livingstone, Fanny de Chaillé, Laeticia Dosh, Latifa Laabissi, Marcelo Evelin, Jonathan Capdevielle, Zeena Parkins, Antonia Baehr, Jule Flierl, Yasmine Hugonnet, Nosfell, Emilie Rousset, Louise Hémon, Kate McIntosh, Marion Siéfert, Meg Stuart, Flora Detraz, Kayije Kagame et Jennifer Lacey, avec laquelle elle co-signe de nombreux projets. Leur collaboration fait l’objet d’une publication « Jennifer Lacey & Nadia Lauro, dispositifs chorégraphiques » par Alexandra Baudelot publiée aux Presses du Réel.
Elle reçoit le prix The Bessies, New York Dance and Performance Awards pour la conception visuelle de $Shot (Lacey / Lauro / Parkins / Cornell) et est lauréate de la Villa Kujuyama avec Jennifer Lacey en 2003.
Elle conçoit une série d’ installations/performance “Tu montes”, “As Atletas”, et “I hear voices” , des environnements scénarisés développés dans divers lieux (musées, foyers de théâtre, galeries, jardins) en Europe, au Japon et en Corée.
Elle crée les concert-performance « Stitchomythia » en collaboration avec la compositrice electro- acoustique Zeena Parkins et « Transhamance « en collaboration avec Cocorosie et Gaspard Yurkévitch.
Elle conçoit également plusieurs dispositifs scénographiques et curatoriaux: “La Clairière” (Fanny de Chaillé/Nadia Lauro), un environnement visuel immersif pour entendre au Centre Pompidou, 4ème édition du Nouveau festival /« Khhhhhhh » Langues imaginaires et inventées , “Garden of time », un jardin performatif pour le festival de la Cité Lausanne, 2020.
Elle collabore entre 2014 et 2022 comme artiste associée au festival Extension Sauvage (Latifa Laâbissi / Figure Project).
Interprète
Sophie Lenoir est une artiste pluridisciplinaire qui a travaillé dans de nombreux cabarets. Elle est comédienne, danseuse, chanteuse depuis plus de vingt ans dans la compagnie du Zerep. Elle travaille régulièrement avec Jean Lacornerie, Jean-Michel Ribes, Raphael Cottin, Guillaume Barbot. Elle a également travaillé avec Nasser Martin Gousset et Roger Planchon.
Assistant à la mise en scène
Guillaume Marie est né à Caen en 1980 et vit actuellement à Paris. Il fait ses études à l’École de Danse de l’Opéra de Paris puis au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris d’où il sort diplômé.
En 2000, il commence sa carrière d’interprète et collabore avec de nombreux chorégraphes et metteurs en scène internationaux tels que : Les Ballets du Nord, Itzik Galili, Thierry Smits, Gael Depauw, Martin Butler, Marlène Saldana & Jonathan Drillet, Guilherme Bothelo, David Wampach, Gaëlle Bourges, Radhouane El Meddeb, Jonathan Capdevielle, Cindy Van Acker, Jan Fabre, Romeo Castellucci ou encore Gisèle Vienne.
Depuis 2007 Guillaume développe son propre travail artistique au sein de l’association Tazcorp/ où collaborent des artistes venant de la danse et de la performance, de la philosophie, de la musique, de la vidéo, des costumes, du maquillage et des effets spéciaux. Leurs créations s’inscrivent sur différents médiums, de la performance à des pièces chorégraphiques jusqu’à la réalisation de courts-métrages.
Le travail de Guillaume est régulièrement présenté en France et à l’étranger : Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine- Saint- Denis (F), la ménagerie de verre (F), Théâtre de Vanves, Festival Artdanthé (F), Festival A Corps, TAP (F), Tanzfabrik, Berlin (G), Berlin Atonal (G), Tanznacht, Berlin (G), Antre Peaux, Bourges (F), Teatre Lliure (S), Lev Festival (S), Donau Festival, Krems (A), Dance in December Bruges (B), Festival a/d Werf Festival (N), Alhondiga, Bilbao (S), …
Chorégraphe, interprète
Né à Orléans, Jérôme Marin a passé plusieurs années au Conservatoire National de Région d’Orléans. Son travail s’oriente rapidement vers le cabaret, surtout l’univers de Karl Valentin. De son envie de chanter naîtra en 2001 le personnage de Monsieur K., qui évoluera seul ou en collectif, et dont il écrit la plupart des chansons. Il travaille avec plusieurs compagnies sur différents projets comme comédien, dont Entre les murs d’après François Bégaudeau, mise en scène par François Wastiaux. Puis en 2011, il replonge dans l’univers du cabaret et travaille à plusieurs formes mêlant danse et chanson avec des chorégraphes tel que François Chaignaud, Daniel Larrieu, Marianne Baillot. En 2015, il participe à la réouverture du cabaret parisien Madame Arthur, et prendra la direction artistique de sa troupe. En 2018, il reprend sa liberté pour imaginer ou participer de nouveaux projets toujours autour du cabaret et de la Chanson française, dont son rendez-vous parisien mensuel : le cabaret LE SECRET.
interprète
Babacar M’baye FALL est artiste interprète de cinéma, radio, théâtre, télévision. Il est né en 1976 au Sénégal. Il arrive en France en 2000, puis se forme à l’École Nationale Supérieure d’ Art Dramatique de Montpellier.
Il a interprété de nombreux personnages du répertoire classique et moderne dans de nombreuses mises en scène, parmi lesquelles Othello de Shakespeare mis en scène par Gilles Bouillon, Le More Cruel mis en scène par Jean-Philippe Clarac & Olivier Deloeuil, Le Conte d’Hiver de Shakespeare et Le Suicidé mis en scène par Patrick Pineau, La Rose et La Hache mis en scène par Georges Lavaudant, Les Nègres mis en scène par Robert Wilson, Fin de Partie mis en scène Jean-Claude Fall, Roberto ZUCCO de Bernard Marie Koltès mis en scène par Richard Brunel, Derniers Remords avant l’Oubli de Jean-Luc Lagarce mis en scène par Luc Sabot.
Musicien
Ignacio Plaza Ponce, est né à Madrid. Après des études de piano et de composition, il a enrichi son parcours artistique en se spécialisant en improvisation jazz et en arrangement à Paris au début des années 2000. Dès lors, il a multiplié les collaborations dans le domaine de la musique, du cinéma et des arts de la scène, s’associant avec divers artistes et compagnies à travers l’Europe.
En 2007, Ignacio fait ses premiers pas dans le monde du cinéma en étant sollicité par la Cinémathèque Française pour composer et accompagner des films muets lors des journées du patrimoine. Cette opportunité marque le début d’une collaboration régulière jusqu’en 2022 dans le cadre de Ciné-Concerts, où il se produit lors de séances à la Cinémathèque Française, au Forum des Images à Paris, ainsi que dans divers festivals internationaux tels que le Festival d’Anères en France, l’Institut Cervantes de New Delhi et Tokyo, l’International Silent Film Festival de Manille aux Philippines, le festival FIMé de Toulon, le Lux scène national de Valence, le Fetsival Travelling à Rennes, Stereolux à Nantes, ou encore le Théâtre Jacques Prévert à Aulnay. En 2022 Intègre la ADRC et se produit en ciné-concert dans le réseau cinéma d’art essai ainsi qu’ à la scène nationale d’Albi, de la Rochelle, de Bourges… Il collabore aussi régulièrement en ciné concert avec l’association Braquage qui tourne autour du cinéma expérimental, de la diffusion de cinéma en pellicule et des projets pédagogiques autour de la musique à l’image.
En 2006, il intègre également le groupe de chanson-rock “Les Ongles Noirs”, avec lequel il entame une série d’enregistrements et de performances en France.
Les années qui suivent voient Ignacio élargir son champ d’activités, collaborant avec l’INHA pour la composition musicale d’un spectacle sur Faust et se produisant dans le cadre du Festival d’Histoire de l’Art à Fontainebleau. Parallèlement, il continue à explorer les possibilités offertes par la musique de scène, notamment en travaillant avec la Compagnie Luc Amoros pour la création du spectacle “La Tortue de Gauguin”, une performance inclassable mêlant arts plastiques, théâtre visuel et musiques de scène. Son engagement dans le domaine du théâtre se concrétise également par sa participation à la création de musiques originales pour diverses pièces, telles que “Fugue en L Mineur” et “Adelphes”, jouées à Paris et dans d’autres villes de France. En 2023 il participe à la création du nouveau spectacle de la Compagnie “Roses rouges” (2023-24) au Centre National des Arts de la Rue en Nouvelle-Aquitaine (Sur le Pont) et en Irlande.
Au fil des années, Ignacio élargit encore son champ d’exploration artistique en collaborant avec des artistes d’autres disciplines, tels que le peintre et bédéaste Miroslav Sekulic-Struja, avec qui il crée des performances musicales-dessinées lors du Festival d’Angoulême. Cette ouverture à la diversité artistique se manifeste également dans toutes ses collaborations musicales
En 2017, Ignacio décide de concrétiser un projet qui lui tient particulièrement à cœur en lançant l’album “Sobre Sordos”, une création musicale soutenue par la DRAC d’Île-de-France et le CNM. Cette œuvre, fruit de nombreuses années d’expérience et de rencontres artistiques, met en lumière sa capacité à réunir des musiciens aux talents complémentaires pour explorer de nouveaux horizons sonores. Le deuxième album de Sobre Sordos est en préparation, toujours accompagné par la DRAC d’Île-de-France. D’un autre côté, en 2023 sort l’album Arrullos, avec Sélène Saint-Aimé et Matteo Pastorino, accompagné d’un travail scénographique mélangeant musique et peinture en live avec l’artiste plasticienne Magali Cazo.
Parallèlement, il poursuit ses collaborations dans le domaine du théâtre et des arts de la rue, s’investissant dans la création de nouveaux spectacles et performances. Aujourd’hui, Ignacio Plaza Ponce continue d’explorer les frontières de l’art et de la musique, s’engageant dans de nouveaux projets et collaborations qui témoignent de sa passion pour la création et son ouverture à la diversité artistique. Son parcours riche et varié reflète son désir constant d’explorer de nouveaux territoires et de repousser les limites de l’expression artistique.
Eclairagiste
Patrick Riou, après plusieurs années d’études au Conservatoire de Musique de Toulon et de formation en lutherie, débute sa carrière dans le monde du spectacle aux côtés du chorégraphe François Verret. Il se découvre alors une passion pour la danse auprès de grands éclairagistes tels que Rémy Nicolas, Jacques Chatelet, Pierre Colomère…. Ces expériences lui permettent de travailler dans les univers variés des chorégraphies de Joseph Nadj, François Raffinot, Karine Saporta, Kubilaï Khan Investigation, Catherine Berbessous et Angelin Preljocaj dont il signe régulièrement les lumières.
Il a créé les lumières des spectacles de Gisèle Vienne : Showroomdummies (création 2001 et ré-écriture 2009), I Apologize (2004), Une belle enfant blonde / A young, beautiful blonde girl (2006), Kindertotenlieder (2007), Jerk (2008), Eternelle Idole (2009), This is how you will disappear (2010), LAST SPRING : A Prequel (2011) et The Pyre (2013).
Il travaille avec Jonathan Capdevielle sur ses trois premiers projets : Adishatz/Adieu (création 2009), Saga (2015) et A nous deux maintenant (2017)
INTERPrète
Franck intègre la troupe du théâtre du soleil dirigée par Ariane Mnouchkine en 1999, il a alors 20 ans et y travaille comme comédien jusqu’en 2002.
Cette aventure a posé les bases d’une vision du travail de l’acteur autour d’axes essentiels, la pluridisciplinarité, le collectif, la troupe, l’acteur créateur.
Il acquiert des techniques et savoirs diverses dans les différentes compagnies professionnelles dans lesquelles il travaille. Masques, clown, Danse, Cirque, cascade, chorégraphie combat.
Il pratique la capoeira pendant 15 ans, et d’autres arts martiaux qui viennent compléter ses techniques corporelles.
Aujourd’hui, à 42 ans, il joue dans différentes compagnies de Théâtre, de Théâtre de Rue, de Danses ou à l’Opéra dans les salles et l’espace public.
interprète
Après une formation de gymnaste, un mémoire en littérature latine et le conservatoire de Nancy, Anne Steffens a travaillé comme interprète pour Julien Prévieux, Emilie Rousset, Dorian Rossel, Tomas Gonzalez et Igor Cardellini, Philippe Quesne et Vincent Thomasset. Au cinéma, elle a tourné sous la direction de Guillaume Brac, Benoit Forgeard (La course nue, Réussir sa vie, Gaz de France, Yves), Frédérique Devillez (Je vous déclare amour, prix d’interprétation féminine, Festival Côté Court 2018), Francescu Artily, Lucie Rico et Gabriel Harel (La Nuit des sacs plastiques, César 2020 du meilleur film d’animation). Elle a aussi joué dans le premier long-métrage de fiction de Nine Antico, Playlist, et celui de Delphine Deloget, Rien à perdre, présenté en sélection Un Certain Regard au Festival de Cannes 2023.
Elle vient de réaliser son premier court-métrage shake up, produit par Kidam et déjà sélectionné dans plusieurs festivals.
interprète
Né en 1966 à Nice. Vit et travaille à Paris.
Jean-Luc Verna a bénéficié en 2016 d’une exposition monographique au MAC/VAL à Vitry-sur-Seine et plus récemment à la Fondation Salomon à Annecy. Ses dessins ont été exposés dans le cadre de la donation Guerlain au centre Pompidou à Paris ; ainsi qu’à l’occasion de l’exposition 1984-1999 La Décennie au Centre Pompidou Metz en 2014. Il a participé à de nombreuses expositions collectives (Centrale for Contemporary Art, Bruxelles, MuCEM, Marseille, Centre Pompidou, Paris, Forde, Genève, Villa Arson, Nice, Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, Mac/Val …). Ses œuvres sont présentes dans de prestigieuses collections telles que celles du MoMA, NY, The Judith Rothschild Foundation, Flourtown, RAM Foundation, Amsterdam, Centre Pompidou, Musée d’art Moderne de la Ville de Paris, Mac/Val, Printemps de Septembre à Toulouse ainsi que de nombreux Fonds Régionaux d’Art Contemporains.
Une monographie de référence est disponible dans la collection Création contemporaine co-éditions Flammarion/CNAP ainsi qu’un catalogue édité par le MAC/VAL.
« Chez Verna, le dessin est une colonne vertébrale qui fait tenir debout tout le reste : la photographie, le cinéma, la musique, le tatouage, le masque, l’expression du visage, celle du regard. C’est dans le geste précisément élaboré du dessin qu’il a su trouver une forme complexe, qui relève d’un processus de replis de la mémoire et de surgissement du présent. Pour lui, le dessin est un enseignement, une formation continue dont il est à la fois le disciple et le maître. Car Verna est un pédagogue exemplaire, convaincu que l’académisme est une courroie de transmission inexplorée, une forme de subversion. Le dessin chez lui fait l’objet d’un travail de reports et de déplacements extrêmement sophistiqué : du papier, il passe d’abord au calque, puis à la photocopie, où il est agrandi et en quelque sorte dégradé. Cette photocopie est ensuite frottée au trichloréthylène pour être reportée sur le mur, sur de vieux papiers ou sur des tissus, avant d’être reprise à la pierre noire, au crayon de couleur et au fard à paupières, où s’ajoutent parfois des éléments d’ornementation, pierres noires, strass, plumes, guirlandes. » – Stéphanie Moisdon, Roches Noires
L’œuvre de Jean-Luc Verna a la particularité de lier par diverses références l’histoire de l’art et celle de la musique rock (underground), il reprend et déplace, notamment des éléments de la culture savante et populaire et trace une histoire parallèle des mythologies contemporaines. Siouxsie Sioux, sa muse a changé sa vie le jour où il l’aperçu pour la première fois dans une émission d’Alain Maneval alors qu’il était encore adolescent. Une grande partie de ses œuvres et notamment ses dessins font ainsi référence à cette fascination devenue source d’inspiration. Son corps est la colonne vertébrale de son œuvre singulière qui renvoie à des phénomènes d’altérations (tatouages, piercing, maquillage) et qui actualise les questions de représentation et de reproduction.
Dans ses photographies, son corps prend des poses et incarne simultanément des figures issues de l’histoire de l’art classique et de la culture rock. Sur scène, l’artiste se transforme en star du rock avec son groupe I Apologize ou en danseur dans les chorégraphies de Gisèle Vienne. Il multiplie les métamorphoses, allant jusqu’à interpréter tous les rôles d’un film sous la caméra de Brice Dellsperger. Il défait ainsi les catégories et mêle les genres. Non sans humour il prête encore à confusion en donnant le même titre à toutes ses expositions personnelles depuis 1995 : « Vous n’êtes pas un peu beaucoup maquillé ? » – « Non. »
TECHNIQUE
régisseuse plateau
Après avoir fait des études d’anglais et d’italien, puis de sociologie de la culture, Léa découvre le monde de la technique lors d’un festival de théâtre auquel elle participe ; c’est le déclic. Elle se lance dans l’aventure et intègre le Groupe 47 au TNS. C’est un terrain d’explorations; elle fait d’abord de la lumière pour Myriades par les élèves scénographes (2021), ainsi que pour Bureau de tabac de Quentin Ehret (2022), puis de la régie générale pour Ivan Marquez autour de Bêtes de style de Pasolini (2021).Ensuite, elle se lance dans la création sonore sur le spectacle Sallinger (2022) mise en scène par Mathilde Waeber, puis sur La Taïga court, Anti-Atlas (2022) mise en scène par Ivan Marquez, puis sur Ring (2024) mise en scène Côme de Bellescize, puis sur Orgie (2025), mise en scène Mathilde Waeber.Elle découvre également la régie plateau avec le spectacle Esthétique de la Résistance de Sylvain Creuzevault (2023), puis poursuit avec Caligula de Jonathan Capdevielle (2023).
Parallèlement, elle participe à la création du Collectif FASP avec 7 autres membres cofondatrices, autour du spectacle Beretta 68 créé en 2023 à l’occasion d’un exercice de «carte blanche» au TNS, qui y sera repris à l’automne 2024 pour une re-création. Elle co-crée le deuxième spectacle du Collectif, un conte intitulé Houle.
Régisseur général
Diplômé en Technique du spectacle vivant au CFPTS de Bagnolet, Ugo COPPIN collabore sur des projets d’opéra, de théâtre et de danse.
Il partage ses activités entre régie lumière et régie générale. Il est aussi ponctuellement formateur aux pupitres lumière pour certaines entreprises de spectacles.
A travers ses différentes activités, il privilégie les expériences et les rencontres artistiques, mais aussi la richesse des échanges humains et les nouvelles technologies.
Habilleuse
Après avoir suivi une formation de comédienne au Conservatoire d’Avignon , Coline travaille en tant qu’interprète dans la région lyonnaise où elle s’installe pendant 15 ans, et fait partie du collectif L’Olympique Pandémonium partenaire du Nth8 , crée sa Cie Rébullition et fait partie de la Cie Et si c’était vrai …. en passant brièvement par la région Toulousaine pendant une année pour parfaire sa formation comme interprète….
En parallèle , son travail de couture l’intéresse de plus en plus et la rencontre d’une costumière C. Ray, lui permet de se dire qu’il n’est pas trop tard pour se former officiellement, et la voici en CAP /Turbo couture Floue à Lyon puis CAP Mode et Chapellerie à Lyon et Munik ou elle poursuit sa formation de couturière/modiste auprès de Nicky Marquardt… Ensuite elle travaille dans différents projets comme Créatrice costumes et/ou comédienne , Groupe Fantomas G. Bailliart “Merlin ou la terre dévastée” “Faillir être Flingué” , Les 7 soeurs C. Hargreaves “Moi, Malvolio” “Fleur des pois” Back to Réality”, L’arbre Canapas “Wolfli”, L’ARFI “Pluterriens”, Carole Bordes “l’élan Naif” “Matt et Moi”, O.Barrère “Soie”, “Lune jaune”, Cie rhizome Valérie Paùs “Crache” MégaSuperThéâtre “La fabrique des idoles”, “La séance”…
Depuis une dizaine d’années, de retour dans sa région natale aux environs d’Avignon, elle ajoute à son travail de création le suivi de spectacles en tournée comme régisseuse Habillage avec Les Hommes approximatifs Caroline Guiela n’Guyen ” Saigon” “Fraternité”, Poppy Dog Jonathan Caprdevielle “Rémi” “Caligula”, Bi-P Mickael Phelipeau “Majorettes”, et est cheffe habilleuse sur site au festival In d’Avignon depuis 2007…
Régisseur lumière
David Goualou est créateur et régisseur lumière pour le théâtre et pour la danse. Il a notamment signé des créations lumière pour BODOBODÓ production – Juste une cachette -2012 et le Théâtre du Grain – L’étourdissement – 2014 , travaille régulièrement au Quartz – Scène national de Brest comme régisseur d’accueil et assure la régie lumière des pièces de Jonathan Capdevielle depuis 2014.
Régisseur son
A 6 ans, la flûte à bec. Fatigué des longs jupons 70’s de sa professeur, il tente le tout pour le tout à l’âge de 9 ans et s’inscrit au cours de batterie de son village. S’en suivra dès études de composition électroacoustique et batterie au CNR de bordeaux. Refusant la mono instrumentalisation, il étend sa pratique instrumentale au steel drum, tablas , balafon, flûte divers, synthés bricolés … et participe à différents projets musicaux. Légèrement geek sur les bords, il affectionne le fer à souder et la programmation. Il créé bon nombre d’installations sonores, de bandes sons pour le spectacle vivant et se forme sur le terrain à l’ingénierie du son (cie Fieldworks, la Coma, Ouvre le chien, les Limbes, Frank de Louise, Ariadone, Hamid Ben Mahi, Poppydog, Ola etc…), univers dans lesquels il officie toujours.
Régisseur général
Né à Rosny sous-bois, il a grandi en banlieue parisienne, il vit actuellement à Orléans.
Il est d’abord régisseur plateau à la ferme du buisson de 1999 à 2003 il y découvre le nouveau cirque, la danse et les formes contemporaines puis il participe à la réouverture de l’Opéra de Lille sous la direction de Caroline Sonrier où il collabore avec de nombreux artistes, notamment Jean-François Syvadier qu’il suivra sur plusieurs projets au théâtre et à l’opéra.
Il participe à plusieurs éditions du festival d’Avignon (IN) en tant que régisseur plateau et adjoint en régie générale.
Parallèlement il devient régisseur général et participe à plusieurs pièces de Thierry Bédart. En 2010 il intègre la compagnie Fragile/Christian Rizzo, il en assure la régie générale durant cinq années. Il collabore aussi depuis 2015 avec Jonathan Capdevielle/association Poppydog dont il est le régisseur général, il a à ce titre participé à Saga, A nous deux maintenant, Rémi, Music All et Caligula.
En 2017, il travaille avec Caroline Nguyen Guiela pour la création et la tournée du spectacle SAIGON.
En 2018 il travaille pour le théâtre national de la Colline et assure la régie générale du spectacle Point de non-retour d’Alexandra Badéa. Il est aussi employé par le CDN d’Orléans sous la direction de Séverine Chavrier.
En 2022 il assure la régie générale de Bocas del Oro de Marcela Santander, et en 2023 celle spectacle Majorettes de Mickaël Phelippeau.
A ce jour il continue de collaborer activement avec Jonathan Capdevielle et avec Christian Rizzo.
Régisseur lumière
PRODUCTION
Administration générale, coordination de production
Après des études d’histoire à Brest, Manon Crochemore intègre en 2008 l’ENSATT (Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre), où elle suit pendant 2 ans la formation « Administration du spectacle vivant ». Après son diplôme, elle travaille pendant un an comme assistante de production, au Nouveau Théâtre de Montreuil – Centre Dramatique National, dans le cadre d’un contrat de professionnalisation. En parallèle, elle entame une collaboration avec Raphaëlle Delaunay pour l’administration de sa compagnie (Traces).
En juin 2011, elle rejoint l’équipe du Bureau Cassiopée pour travailler auprès de la compagnie Caterina et Carlotta Sagna. Elle prend la direction du bureau avec Isabelle Morel en mars 2016, date à laquelle la structure est renommée Fabrik Cassiopée. Elle est actuellement en charge de l’administration des projets de Jonathan Capdevielle, de Mickaël Phelippeau et accompagne Marcela Santander Corvalán pour l’administration, la production et la diffusion de ses projets, depuis septembre 2016.
Développement, diffusion, montage de production
Titulaire d’une Licence de Lettres Modernes (Université Toulouse-Le Mirail) et d’un Magistère de Relations Internationales option Management de projets culturels (Paris 1 Panthéon Sorbonne), Isabelle Morel est d’abord chargée de mission au Ministère de la Culture et de la Communication au Département des Affaires internationales sur des projets de coopération culturelle avec l’Europe de l’Est.
Passionnée de danse contemporaine, elle travaille ensuite de 1996 à 1999 comme attachée de direction au Centre de Développement Chorégraphique Toulouse-Midi-Pyrénées (premier CDC de France). De retour à Paris, elle devient en 2001 administratrice de production du chorégraphe Marco Berrettini/ Cie *Melk Prod qu’elle accompagne pendant huit ans.
Elle rejoint le Bureau Cassiopée en 2010 pour développer la production et la diffusion de la Cie Caterina et Carlotta Sagna puis, à partir de septembre 2012, auprès de Christian Rizzo. Elle prend la direction du bureau avec Manon Crochemore en mars 2016, date à laquelle la structure est renommée Fabrik Cassiopée. Elle est actuellement en charge du développement des projets de Mickaël Phelippeau et Jonathan Capdevielle. Et depuis octobre 2015, elle accompagne le CDN de Besançon Franche Comté pour la diffusion des oeuvres de Célie Pauthe, directrice du lieu.
Administration de tournée, communication
Diplômée d’un Master en Politiques culturelles et Mécénant à l’Institut Politique d’Aix-En-Provence, Mathilde Lalanne intègre ensuite le master Management des Organisations culturelles de l’Ecole Paris Dauphine en 2020. Elle découvre et se forme dans le milieu culturel suite à plusieurs expériences en France et à l’étranger, aussi bien dans le milieu du spectacle vivant que du cinéma ou des musées. Passionnée de danse et de musique, elle travaille ensuite en 2021 comme attachée de production au Centre Chorégraphique National de Rennes et de Bretagne, où elle accompagne le travail du collectif FAIR-E.
Elle rejoint ensuite l’équipe de Fabrik Cassiopée comme chargée de production en janvier 2023, attirée par la pluridisciplinarité des formes et des esthétiques des artistes accompagnés par le bureau. Elle travaille depuis à l’administration de tournée et à la communication avec Mickaël Phelippeau, Jonathan Capdevielle, Jonathan Drillet et Marlène Saldana. Depuis 2024 elle accompagne également Hortense Belhôte et ses projets, en coordination, diffusion, production et administration de tournées.